Festival de Cannes 2025
Ange, voyageur solitaire et ethnologue de profession, doit pour rembourser sa dette, mettre le cap sur les bords de la Méditerranée. Alors qu’il a pris les routes au volant de son vieux van telle n’est pas sa surprise quand il retrouve cachée dans le coffre sa fille de 17 ans dont il vient à peine d’apprendre l’existence.
Les Inrocks - Ce voyage joyeux à travers les musiques, les affiches et les costumes de flamenco est à la fois désordonné et très construit, comme beaucoup de films de Tony Gatlif, très grand connaisseur de ces cultures. On a envie de danser, d’être libre.
Télérama - Cette trame attachante, mais très linéaire, sert la part quasi documentaire du film. Le tout rend, une étape après l’autre, un fervent hommage aux différentes musiques traditionnelles des gens du voyage, auxquels le réalisateur Tony Gatlif a consacré toute son œuvre.
La Tribune Dimanche - Magnifiant les silences comme les plans fixes, le cinéaste gitan invite le spectateur à prendre le temps, à se (re)connecter à la beauté du monde, des êtres et des âmes.